Cétaxé
La main courante va son train
de lettre en morte en lettre vaine
et caresse ton bât de haine
quand je t'ai prise pour festin
Mademoiselle Cétaxé, où allons-nous ?
Regretter tous les cétacés, à nos genoux ?
L'œil aussi blanc qu'un franc linceul
tu souhaites qu'autant je recueille
et ta frimousse que j'effeuille
et, tout' ! la misère des Peuls...
Visage lunatique à l'alarme intrinsèque
tu m'as enfin souri, quand je t'ai dit "...pastèque" !
Sait-on quel axe nous ressent ?
Est-ce un doux juillet, un septembre ?
Quelques petiots pas sous les trembles
ou l'amertume de nos sangs ?
Disons que c'est assez... que je me cache à l'huile...
Tu sais, à Condorcet, au zinc honni des tuiles
A l'horizon, c'est l'axe
pour aucune relaxe...
J'étouffe, tu me tends
un autre sentiment ?
Et voici que, dans le quart d'heure
tu meurs, tumeur... tu meurs...
ma nièce au franc-jeté
parmi tous tes clichés
A leur encontre, même...
quoiqu'ils imploraient tous un délicieux : "je t'aime"
tiniak ©2020 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK
- Nan, mais Zooey Deschanel, c'te folle, quoi ! -
please enjoy it!